Être bien avec soi-même et avec les autres : voilà l’objectif de l’analyse transactionnelle. Cette approche, abrégée AT, cherche à comprendre l’individu, sa personnalité et ses comportements dans le but de mieux vivre. Elle est qualifiée de méthode psychothérapeutique, car elle a été « découverte », étudiée et organisée par un psychiatre canado-américain, Éric Berne.

L’holisme est une approche qui considère l’être humain dans sa globalité, intégrant le corps, l’esprit et l’environnement. Contrairement à une vision réductionniste qui segmente les symptômes, la naturopathie holistique vise à identifier et traiter les causes profondes des déséquilibres en prenant en compte les dimensions physiques, psychologiques et émotionnelles du patient.

La naturopathie et les autres formes de médecines dites "parallèles" ou "alternatives" suscitent des débats passionnés. Si elles rencontrent un intérêt croissant de la part du public, elles font également face à une opposition marquée de la part de certains professionnels de la santé, scientifiques et institutions. Pourquoi cette résistance ? Quels sont les processus qui conduisent à un tel rejet ? Quelles en sont les conséquences ?

Le sarcome est un type rare de cancer qui se développe à partir des tissus conjonctifs du corps, incluant les os, les muscles, les tendons, les vaisseaux sanguins, les nerfs et les tissus adipeux. Contrairement aux carcinomes, qui prennent naissance dans les cellules épithéliales (peau, organes internes, glandes), les sarcomes affectent principalement les structures de soutien de l’organisme.

Les maladies chroniques, telles que le diabète de type 2, l’hypertension, les maladies inflammatoires ou encore les troubles auto-immuns, se développent généralement sur plusieurs années. Elles résultent souvent d’un déséquilibre progressif du terrain biologique, influencé par des facteurs environnementaux, alimentaires, émotionnels et génétiques.

Lorsque l’on a recours aux médicaments chimiques sur une longue période, il devient souvent plus difficile pour l’organisme de répondre efficacement aux médications naturelles. Ce phénomène repose sur plusieurs mécanismes physiologiques et biochimiques qui modifient la capacité du corps à s’autoréguler.

Le corps humain est en perpétuel renouvellement et doit éliminer les déchets issus du métabolisme cellulaire et des substances extérieures. La naturopathie met l'accent sur les cinq émonctoires, qui sont les organes responsables de l'élimination des toxines : le foie, les reins, les intestins, les poumons et la peau. Lorsqu'un émonctoire est surchargé ou insuffisant, un naturopathe peut proposer une déviation vers un autre émonctoire pour rétablir l'équilibre du corps.

En psychologie, le traumatisme est souvent associé à des événements extrêmes, comme les accidents, les agressions ou les catastrophes. Pourtant, une rupture, quelle que soit sa nature et la forme des sentiments impliqués, peut aussi constituer un traumatisme profond. Loin d’être anodine, la séparation affective ou relationnelle peut générer des blessures psychologiques comparables à celles des expériences les plus marquantes de la vie.

En naturopathie, le concept d’incurabilité n’existe pas dans le sens où chaque individu possède une capacité innée d’auto-guérison. Cette approche holistique considère que le corps humain, lorsqu’il est soutenu par un mode de vie adéquat et des soins naturels appropriés, peut toujours évoluer vers un mieux-être, quelles que soient les affections rencontrées.

Lorsqu'il s'agit de santé, chaque erreur a des conséquences potentiellement graves. Cependant, la manière dont ces erreurs sont perçues et traitées varie fortement selon qu'elles se produisent dans le cadre de la médecine conventionnelle ou des pratiques alternatives comme la naturopathie. Cette différence de traitement pose la question de l'équité et de la reconnaissance des professionnels de santé, qu'ils soient médecins ou naturopathes.